CEDEFOP
N° 15 septembre – décembre 1998/III
FORMATIONPROFESSIONNELLE
ISSN 0378-5092
R
E
V
U
E
E
U
R
O
P
É
E
N
N
E
L’assurance qualité
dans la formation
et l’enseignement
professionnels
FORMATION PROFESSIONNELLE NO 15
REVUE EUROPÉENNE
CEDEFOP
Centre européen
pour le développement
de la formation profes-
sionnelle
Marinou Antipa 12
GR – 57001 Thessalonique
(Thermi)
Tél.: 30-31+490 111
Fax: 30-31+490 102
E-mail: info@cedefop.gr
Internet:
http://www.cedefop.gr
Le CEDEFOP apporte son concours
à la Commission en vue de favori-
ser, au niveau communautaire, la
promotion et le développement de
la formation et de l’enseignement
professionnels, grâce à l’échange
d’informations et la comparaison
des expériences sur des questions
présentant un intérêt commun
pour les Etats membres.
Le CEDEFOP constitue un lien en-
tre la recherche, la politique et la
pratique en aidant les décideurs
politiques et les praticiens de la
formation, à tous les niveaux de
l’Union européenne, à acquérir
une compréhension plus claire
des développements intervenus en
matière de formation et d’ensei-
gnement professionnels, leur per-
mettant ainsi de tirer des conclu-
sions en vue de l’action future. Par
ailleurs, il encourage les scientifi-
ques et les chercheurs à identifier
les tendances et les questions fu-
tures.
Le Conseil d’administration du
CEDEFOP a approuvé une série de
priorités à moyen terme pour la
période 1997-2000. Elles esquis-
sent trois thèmes qui constituent
le point central des activités du
CEDEFOP:
o promotion des compétences et
de l’éducation et la formation tout
au long de la vie;
o suivi des développements en
matière de formation et d’ensei-
gnement professionnels dans les
Etats membres, et
o au service de la mobilité et des
échanges européens.
Rédacteur en chef: Steve Bainbridge
Comité de rédaction:
Président:
Jean-François Germe
Matéo Alaluf
Tina Bertzeletou
Keith Drake
Gunnar Eliasson
Alain d’Iribarne
Arndt Sorge
Reinhard Zedler
Jordi Planas
Manfred Tessaring
Sergio Bruno
Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM),
France
Université Libre de Bruxelles (ULB), Belgique
CEDEFOP
Manchester University, Great Britain
The Royal Institute of Technology (KTH), Sweden
Laboratoire d’Economie et de Sociologie du Travail
(LEST-CNRS), France
Humboldt-Universität Berlin, Deutschland
Institut der deutschen Wirtschaft Köln, Deutschland
CEDEFOP
CEDEFOP
Università di Roma, Italia
Publié sous la responsabilité de :
Johan van Rens, directeur
Stavros Stavrou, directeur adjoint
Réalisation technique, coordination :
Bernd Möhlmann
Responsable de la traduction :
Sylvie Bousquet;
Amaryllis Weiler-Vassilikioti
Production technique avec micro-édition :
Agence Axel Hunstock, Berlin
Clôture de la rédaction : 22.01.1999
Reproduction autorisée, sauf à des fins
commerciales, moyennant mention de la
source.
N° de catalogue: HX-AA-98-003-FR-C
Maquette : Agence
Zühlke Scholz & Partner GmbH, Berlin
Printed in Italy, 1999
Couverture : Illustration par
Rudolf J. Schmitt, Berlin
La publication paraît trois fois par an
en allemand, anglais, espagnol
et français.
Les opinions des auteurs ne reflètent pas obligatoirement la position du
CEDEFOP. Les auteurs expriment dans la Revue Européenne “Formation
Professionnelle” leur analyse et leur point de vue individuels qui peuvent être
partiellement contradictoires. La revue contribue ainsi à élargir au niveau
européen, une discussion fructueuse pour l’avenir de la formation
professionnelle.
Si vous souhaitez contribuer par un article, cf. page 90
CEDEFOP
FORMATION PROFESSIONNELLE NO 15
REVUE EUROPÉENNE
Tout ce que vous avez
toujours voulu savoir
sur la “qualité” sans
jamais oser le deman-
der…
Qualité, voilà un mot qui n’admet pas la
controverse. Qui pourrait être contre la
qualité ou la trouver sans importance?
Supposons qu’un beau jour, un organisme
puissant et vénérable décide d’aider les
utilisateurs et les prestataires de forma-
tion professionnelle de l’Union euro-
péenne à améliorer la formation et à faire
des choix judicieux, en mettant à leur dis-
position un “Guide de la qualité dans la
formation professionnelle” montrant où
obtenir des formations de haute qualité.
Après tout, si un fabricant de pneus peut
évaluer des restaurants, le moins qu’on
puisse attendre d’une organisation euro-
péenne telle, par exemple, que le
CEDEFOP est qu’elle soit en mesure de
fournir, dans le domaine qui est le sien,
des informations fiables sur la qualité.
Après un premier temps d’éloges et de
surprise face à une initiative si bienve-
nue, sans doute se trouverait-il quelqu’un
pour rappeler que, pour évaluer la qua-
lité, il faut des critères. “Bien sûr”, pour-
rait-on alors répondre, “c’est là un sujet
complexe, mais cela est tout aussi vrai de
la bonne cuisine”. Les plus sceptiques,
soucieux peut-être de défendre certains
intérêts leur tenant à cœur, diraient sans
doute: “Pourquoi ne pas charger un
groupe de travail de définir des critères
valables d’évaluation de la qualité?” On
percevrait alors un soupir de soulagement,
et une personne expérimentée (peut-être
un agent du CEDEFOP) se verrait char-
gée de constituer cette commission et de
demander à divers organismes nationaux
d’y déléguer des experts appropriés et de
formuler des observations.
Ce numéro de notre Revue présente cer-
tains résultats auxquels un tel groupe
d’experts pourrait lui-même parvenir ou
se trouver confronté. On constate que se
préoccuper de qualité, c’est non seule-
ment instituer des critères, mais aussi faire
en sorte d’aboutir à la qualité. Comme le
montre Seyfried, il existe différents critè-
res et méthodes pour parvenir à la qua-
lité par l’évaluation, et une différence fon-
damentale existe entre les effets sur l’em-
ploi et la qualité réelle d’une formation.
Veut-on toucher de nombreux individus
par la formation et améliorer leurs pers-
pectives de placement, ou bien vise-t-on
à des contenus et méthodes exigeants? Il
peut s’agir là d’un conflit fondamental,
mais c’est loin d’être le seul. Par exem-
ple, quel est le poids qui devrait être at-
tribué aux technologies de pointe ou aux
technologies plus traditionnelles? Et puis,
dès lors que la formation est dispensée
dans un contexte régional ou national, la
concurrence peut s’intensifier et les nor-
mes de qualité se rehausser. Les questions
de ce type suscitent des problèmes in-
cessants et de vives discussions.
Les systèmes nationaux d’éducation et de
formation, comme le montrent Koch et
Reuling, tendent à configurer la défini-
tion de la qualité selon leurs formules
institutionnelles spécifiques. D’une cer-
taine manière, c’est la méthode d’assu-
rance qualité qui vient en premier et qui
se trouve institutionnellement enracinée,
se répercutant sur le type de qualité que
l’on considère comme important. En
Grande-Bretagne, les prestataires et les
utilisateurs ont de plus en plus la possi-
bilité de définir des normes de qualité plus
individualisées. Cela rend les normes gé-
nérales non seulement difficiles à appli-
quer, mais aussi moins pertinentes. En
CEDEFOP
1
FORMATION PROFESSIONNELLE NO 15
REVUE EUROPÉENNE
Allemagne, et surtout en France, c’est le
contraire; en Allemagne, la qualité des
résultats de l’enseignement et de la for-
mation est institutionnellement considé-
rée comme plus importante que la maî-
trise du processus dont ils sont issus, alors
qu’en Italie, où l’essentiel de la forma-
tion professionnelle est sous la régie
d’autorités régionales, on peut s’imaginer
la discussion que suscitera toute proposi-
tion de normes nationales.
Dans une certaine mesure, pour certains
observateurs, le “nouvel âge” du contrôle
de qualité ISO 9000 a des implications
importantes pour la formation. Cepen-
dant, comme le montre Van den Berghe,
il n’en est ainsi qu’en partie. Il est certai-
nement vrai que prendre ISO 9000 au
sérieux peut amener les prestataires de
formation à réfléchir à sa qualité, à quoi
elle est due, comment l’assurer et com-
ment la mesurer avec davantage de pré-
cision. Néanmoins, les prestataires et
utilisateurs soucieux de qualité peuvent
parvenir à des conclusions pratiques si-
milaires sans cette panoplie de normes, à
partir tout simplement de l’expérience et
du bon sens. Pour les petites entreprises,
s’engager dans un processus intégral de
certification ISO 9000 peut entraîner des
difficultés et des coûts qui en excèdent la
valeur pratique. Certains sont disposés à
payer le prix du statut et du prestige,
même si l’effet putatif du mécanisme ISO
sur la qualité est discutable. Par tradition,
les industriels ont coutume de se dispu-
ter le statut de fournisseurs attitrés des
cours royales et les insignes qui y sont
associés. Maintenant, nous avons ISO
9000. Les temps changent, les symboles
changent, mais le caractère et la fonction
des symboles demeurent.
Il ne fait aucun doute, comme le souli-
gne Stahl, que les bonnes pratiques et les
courants de la formation continue en en-
treprise présentent certaines similitudes
fonctionnelles. Mais il faut se garder d’en
tirer la conclusion que la qualité est fa-
cile à déterminer. Les courants évoluent;
naguère, on considérait fréquemment que
la formation dans des ateliers distincts,
dans des écoles et des centres de forma-
tion dissociés du monde du travail, té-
moignait d’une meilleure qualité. À pré-
sent, on assiste à une renaissance de la
formation au poste de travail, la considé-
rant comme une méthode d’apprentissage
qualitativement exigeante, irremplaçable
et méritant davantage d’attention qu’autre-
fois.
Une façon d’évaluer les dispositifs de for-
mation continue serait de laisser le soin
de le faire aux futurs et aux anciens for-
més eux-mêmes, comme le suggère Stahl
dans son deuxième article. Rien d’éton-
nant à cela, car l’offre de formation con-
tinue a considérablement augmenté, à tel
point que toute évaluation systématique,
même circonscrite, est très difficile. Bien
sûr, dans un marché de plus en plus opa-
que, le client est roi, mais il s’agit sou-
vent d’un roi fort candide. Telle est peut-
être la raison de l’importance que peut
revêtir l’auto-évaluation, mais elle ne peut
être efficace qu’à condition que l’on
puisse procéder à une comparaison entre
plusieurs possibilités.
C’est une démarche différente qu’expose
Capela pour décrire l’évaluation et
l’accréditation de la formation dont bé-
néficie le Portugal grâce au concours du
Fonds social européen. Il y a là une telle
richesse d’éléments systématiques, de cir-
cuits de rétroaction et de pondération de
différents types de critères et d’intérêts
que l’on pourrait y voir une description
d’un monde parfait. On peut avancer que
telle devrait être la norme pour tout pro-
jet de formation professionnelle de l’UE.
Néanmoins, on retrouve en ce qui con-
cerne ISO 9000 la question de savoir si la
formalisation va fonctionner et si un souci
“formel” de qualité en garantit toujours
l’aboutissement “matériel”. La réponse
n’est pas si simple, et quiconque se pro-
nonce en faveur d’une idée universelle et
opérationnelle du contrôle de la qualité
devra affronter aussi la difficulté d’éviter
toute formalisation superficielle. Souhai-
ter l’égalité et l’équité dans la mise en
œuvre, c’est plaider également pour la
formalisation. La règle de l’application
équitable de la loi est nécessairement
bureaucratique.
Puisque nous parlons du rôle de la loi et
de la bureaucratie, et pour ce qui est du
thème de l’assurance qualité, nombre de
lecteurs ne seront guère surpris de cons-
tater que sur les articles d’un numéro de
notre Revue consacré à la qualité, une
majorité des deux tiers environ sont dus
à des auteurs allemands. On dirait que
les thèmes et les auteurs s’attirent
CEDEFOP
2
FORMATION PROFESSIONNELLE NO 15
REVUE EUROPÉENNE
mutuellement. Mais ce serait être fort su-
perficiel d’en conclure que c’est chez les
Allemands que l’on se préoccupe de la
qualité dans la formation professionnelle
avec le plus de ferveur et de souci de
réglementation. Que l’on se souvienne
que le dispositif d’évaluation le plus mé-
ticuleux vient du Portugal. Il n’en reste
pas moins qu’un système assez général
et largement applicable d’assurance qua-
lité dans un domaine spécifique, celui
de la formation à l’utilisation des com-
mandes programmables dans l’électro-
technique, décrite par Jenewein et
Kramer, vient d’Allemagne. On notera
que ce qui caractérise cet exemple, ce
sont des accords tacites sur les normes
plutôt qu’une recherche introspective
profonde sur les critères, les mesures, les
méthodes de formation, etc. Gardons cela
à l’esprit pour éviter de nous leurrer sur
les possibilités de substituer à un prag-
matisme judicieux un intégrisme de codi-
fication et de certification. Ce qui rend
viable le dispositif de formation et d’as-
surance qualité relatif aux commandes
programmables, ce n’est pas sa rigueur
érudite et sa sophistication; c’est le fait
qu’il est institutionnellement fondé sur
une communauté professionnellement
cohérente et bien organisée de praticiens,
et la profession a bien entendu appris
bien des choses sur les commandes
programmables; elles nous accompa-
gnent sur une grande échelle depuis plus
de dix ans.
Enfin, l’exemple polonais présenté par
Wójcicka est précieux dans la mesure où
il montre que l’insécurité qui résulte d’une
libéralisation radicale de l’assurance qua-
lité, d’un exercice immodéré du libéra-
lisme dans un marché de la formation en
pleine croissance, aboutit à renforcer
l’évaluation et la certification. Les diffi-
cultés n’en sont cependant pas moindres,
car le risque de formalisme superficiel
reste toujours présent.
En conclusion, on ne trouvera pas dans
ce numéro de système absolu d’assurance
qualité. Que peut-on donc faire pour
œuvrer vers une amélioration de la qua-
lité et de l’assurance qualité? On avait
demandé un jour à Duke Ellington de
définir le “swing”. Il répondit tout sim-
plement: “si vous ne le sentez pas, vous
ne le reconnaîtrez pas”. Les choses les
plus importantes se passent de définition
opérationnelle générale, et on distingue
les vrais connaisseurs à ce qu’ils n’en ont
pas besoin. On peut appliquer cela à l’as-
surance qualité dans la formation profes-
sionnelle. Essayez de la comprendre dans
ses différents arrangements, mettez-vous
au diapason des articles, recherchez com-
ment l’améliorer par l’improvisation, et
alors un sens de la qualité montera en
vous. En ce sens, ce numéro est d’orien-
tation plus pratique que ne pourraient
l’imaginer ceux qui pensent que la prati-
que commence par un dispositif complexe
et formel.
Arndt Sorge
CEDEFOP
3
FORMATION PROFESSIONNELLE NO 15
REVUE EUROPÉENNE
CEDEFOP
4
FORMATION PROFESSIONNELLE NO 15
REVUE EUROPÉENNE
L’assurance qualité dans
la formation et l’ensei-
gnement professionnels
Évaluer les évaluations
Régulation de la qualité de la formation professionnelle par les pouvoirs
publics en Allemagne, en France et en Angleterre …………………………………….. 7
Richard Koch, Jochen Reuling
À l’avenir, il pourrait s’avérer nécessaire de trouver de nouvelles combinaisons
entre la régulation par les critères relatifs aux moyens et par les critères relatifs
aux résultats, ainsi qu’entre la garantie de la qualité par l’État et la garantie au
niveau interne par les prestataires. La tendance, observable partout dans l’UE, à
la multiplication des filières de formation et à l’incitation à la concurrence des
différents prestataires sur les marchés de la formation pourrait bien aboutir à
une réorientation de la régulation de la qualité par les pouvoirs publics.
L’évaluation de la qualité dans les programmes
de formation professionnelle …………………………………………………………………… 14
Erwin Seyfried
Il y a lieu d’instaurer une convergence accrue entre les débats sur la politique
de formation et la politique de l’emploi, et d’accomplir davantage d’efforts de
part et d’autre pour coordonner des approches cohérentes en matière de
recherche basées sur des indicateurs de qualité s’intéressant à la fois aux
processus et aux produits.
Application des normes ISO 9000 dans l’enseignement et la formation ….. 21
Wouter van den Berghe
Bien que l’expérience relative à l’application des normes ISO 9000 dans le
domaine de l’enseignement et de la formation soit encore limitée, il est déjà
possible d’en tirer certaines conclusions provisoires.
Garantir la qualité de la formation sur le lieu de travail
La formation continue interne dans les entreprises
d’Europe: tendances …………………………………………………………………………………. 31
Thomas Stahl
Optimiser la formation continue en entreprise signifie pour les entreprises
d’Europe créer de nouvelles sources d’innovation par l’intégration de la
formation et du travail.
L’autoévaluation, voie royale de l’assurance
qualité dans la formation continue? …………………………………………………………. 35
Thomas Stahl
“L’autoévaluation étant intégrée (…) dans l’évaluation par des tiers, l’assurance
qualité de la formation continue peut être plus simple, plus efficiente et, surtout,
plus conséquente dans sa finalité, qui est l’amélioration permanente de la
pratique de la formation continue.”
CEDEFOP
5
FORMATION PROFESSIONNELLE NO 15
REVUE EUROPÉENNE
Études de cas
Système d’accréditation des organismes de formation –
Origine, objectifs et méthodologie du système d’accréditation ………………… 49
Carlos Capela
Le système d’accréditation des organismes de formation n’est pas un système de
certification de la qualité, mais plutôt un système qui, par la voie méthodo-
logique jugée la plus adéquate au niveau du contexte et de l’“objet” considérés,
vise à contribuer à la qualité et l’adéquation des interventions de formation et à
la structuration de l’offre qui les sous-tend.
L’assurance qualité en matière de formation professionnelle continue pour
les petites et moyennes entreprises de l’artisanat allemand –
illustrée par les travaux du ZWH (Office central de formation
continue de l’artisanat) dans le domaine de la formation ……………………….. 56
Klaus Jenewein, Beate Kramer
Cet article traite des principes fondamentaux et des travaux du ZWH en matière
d’assurance qualité dans le domaine de la formation continue de l’artisanat.
Création d’un système externe d’assurance qualité
pour l’enseignement supérieur – l’exemple de la Pologne ………………………. 64
María Wójcicka
Cet article examine les directions principales menant à la recherche d’une
solution au problème de l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur
polonais et met particulièrement l’accent sur l’enseignement professionnel
supérieur.
À lire
Choix de lectures ……………………………………………………………………………………… 72
CEDEFOP
6