Docs Wikilivre.
  • Accueil
  • Attestations
  • Cours & Exercices
  • Documents
  • Entreprise
  • Formation
  • Lecteur PDF
No Result
View All Result
No Result
View All Result
Docs Wikilivre.
  • Accueil
  • Attestations
  • Cours & Exercices
  • Documents
  • Entreprise
  • Formation
  • Lecteur PDF
No Result
View All Result
Docs Wikilivre.
No Result
View All Result

La pratique réflexive dans la formation en travail social …

Loader Loading...
EAD Logo Taking too long?

Reload Reload document
| Open Open in new tab

 

400
SHARES
6.7k
VIEWS
Share on FacebookShare on Twitter
  • Titre : 1035195ar.pdf
  • Submitted by : Anonymous
  • Description : formation d’assistant de service social : l’autoévaluation du parcours de professionnalisation. Le deuxième, plus ancien dans la formation en travail social, concerne la réalisation d’un mémoire d’initiation à la recherche de fin d’études.

Transcription

 

Document generated on 07/13/2021 8:20 p.m.

Approches inductives
Travail intellectuel et construction des connaissances

La pratique réflexive dans la formation en travail social. Le
parcours de professionnalisation et le mémoire de recherche

La pratique réflexive : fondements et expériences diverses

Article abstract

Yvette Molina

Volume 3, Number 1, Winter 2016

URI: https://id.erudit.org/iderudit/1035195ar
DOI: https://doi.org/10.7202/1035195ar

See table of contents

Publisher(s)

Université du Québec à Trois-Rivières

ISSN

2292-0005 (digital)

Explore this journal

Cite this article

Molina, Y. (2016). La pratique réflexive dans la formation en travail social. Le
parcours de professionnalisation et le mémoire de recherche. Approches
inductives, 3(1), 68–90. https://doi.org/10.7202/1035195ar

Cet article se propose d’analyser les enjeux de la pratique réflexive dans le
champ professionnel du travail social au prisme du cadre théorique de la
sociologie des professions. S’agissant des métiers du social dont les missions
sont orientées vers le traitement de situations singulières et complexes, la
posture réflexive s’impose au praticien comme une nécessité dans sa pratique
au-delà des techniques et des méthodes d’intervention. Il s’agit de faire face à
des situations conjecturelles qui obligent à des délibérations complexes et qui
engagent le praticien dans des pratiques prudentielles au sein d’organisations
de travail elles-mêmes réflexives. La pratique réflexive passe par un
apprentissage dans un processus de professionnalisation au moment de la
formation initiale. La démarche d’acquisition d’une posture réflexive du futur
praticien est illustrée à travers deux dispositifs de formation : l’autoévaluation
du parcours de professionnalisation et l’initiation à la recherche.

Tous droits réservés © Approches inductives, 2016

This document is protected by copyright law. Use of the services of Érudit
(including reproduction) is subject to its terms and conditions, which can be
viewed online.

https://apropos.erudit.org/en/users/policy-on-use/

This article is disseminated and preserved by Érudit.

Érudit is a non-profit inter-university consortium of the Université de Montréal,
Université Laval, and the Université du Québec à Montréal. Its mission is to
promote and disseminate research.

https://www.erudit.org/en/

La pratique réflexive dans la formation en travail social.
Le parcours de professionnalisation et le mémoire de recherche

Yvette Molina1
Institut de Formation Sociale des Yvelines (IFSY)
____________________________________________________________________

Résumé

Cet article se propose d’analyser les enjeux de la pratique réflexive dans le champ
professionnel du travail social au prisme du cadre théorique de la sociologie des
professions. S’agissant des métiers du social dont les missions sont orientées vers le
traitement de situations singulières et complexes, la posture réflexive s’impose au
praticien comme une nécessité dans sa pratique au-delà des techniques et des
méthodes d’intervention. Il s’agit de faire face à des situations conjecturelles qui
obligent à des délibérations complexes et qui engagent le praticien dans des pratiques
prudentielles au sein d’organisations de travail elles-mêmes réflexives. La pratique
réflexive passe par un apprentissage dans un processus de professionnalisation au
moment de la formation initiale. La démarche d’acquisition d’une posture réflexive
du futur praticien est
travers deux dispositifs de formation :
l’autoévaluation du parcours de professionnalisation et l’initiation à la recherche.

Mots-clés : Réflexivité, formation, travail social, autoévaluation du parcours de
professionnalisation, mémoire d’initiation à la recherche
____________________________________________________________________

illustrée à

Introduction

Le propos de cet article repose sur un questionnement relatif à la pratique réflexive au

sein de la formation en travail social en France.

La problématique retenue s’inscrit dans un questionnement qui interroge en

quoi l’introduction de la réflexivité au sein de la formation initiale est considérée

comme une nécessité pour la construction d’un praticien réflexif dans le champ des

professions sociales.

Ce questionnement se pose avec acuité s’agissant des métiers du social dont les

missions sont orientées vers le traitement de situations singulières où se jouent des

questions de vie et de mort dans un milieu où sont imbriquées questions sociales et

Approches inductives 2016, Vol. 3, no1, pp. 68-90.

Molina, La pratique réflexive dans la formation en travail social…

sanitaires (Brodiez-Dolino, Von Bueltzingsloewen, Eyraud, Laval, & Ravon, 2014).

Il s’agit, en d’autres termes, de faire face à des situations de vulnérabilité qui obligent

à des délibérations complexes et qui engagent le praticien dans des pratiques

prudentielles (Champy, 2011) pour lesquelles la posture réflexive s’impose alors à lui

comme une nécessité dans sa pratique, au-delà des techniques et des méthodes

d’intervention. La socialisation professionnelle, lors de la formation initiale, passe

alors par

la construction d’une posture réflexive comme une garantie de

professionnalisme pour l’intervention sociale.

La contribution prend appui sur un matériau empirique analysé à partir de deux

études dans le champ de la formation en travail social en région parisienne en France.

Ce matériau empirique porte plus précisément sur deux dispositifs de formation

qui sont étudiés comme analyseurs d’une double réflexivité dans la construction

d’une posture réflexive du formé dans le champ du travail social. Le premier

concerne un outil apparu en 2004 au sein des référentiels de certification de la

formation d’assistant de service social :

l’autoévaluation du parcours de

professionnalisation. Le deuxième, plus ancien dans la formation en travail social,

concerne la réalisation d’un mémoire d’initiation à la recherche de fin d’études.

Cette contribution met au jour la manière dont ces deux outils distincts

participent de l’acquisition d’une posture réflexive professionnelle en construction au

sein d’une même formation.

L’autoévaluation du parcours de professionnalisation place l’étudiant en

situation d’introspection, de réflexivité biographique (Delory-Momberger, 2009), par

rapport à sa propre progression dans sa professionnalité et le situe de ce fait comme

coévaluateur de ses acquisitions dans une posture formative.

Le mémoire d’initiation à la recherche qui nécessite une distanciation par

rapport au sens commun (Paugam, 2010) interroge quant à lui les objets de

Approches inductives 2016, Vol. 3, no1, pp. 68-90.

69

Molina, La pratique réflexive dans la formation en travail social…

l’intervention sociale et le sens qui lui est donné par le futur professionnel en

formation.

En somme, tout se passe comme si ces deux dispositifs de formation

accompagnaient l’étudiant en formation sur ce double volet de la posture réflexive :

l’une centrée sur soi et l’autre centrée sur la vision du monde qui entoure le

professionnel en devenir. La relation d’accompagnement, de conseil ou de guidance

en formation intervient alors avec l’objectif de « l’avènement d’un sujet réflexif »

(Paul, 2009).

L’article est présenté en deux temps. Le premier pose le cadre théorique de la

sociologie des professions afin d’appréhender les enjeux de ce double mouvement de

la pratique réflexive pour l’acquisition de la professionnalité. Le deuxième présente le

matériau empirique mobilisé à travers l’exposition de la méthode et les résultats des

deux études portant sur chacun des dispositifs de formation, les resituant dans leur

contexte, leurs outils, leurs modalités d’application, leurs caractéristiques et enfin

leurs enjeux pour la construction d’une posture professionnelle réflexive.

1. La réflexivité dans la sociologie des professions

1.1 Une pratique professionnelle réflexive au sein d’une organisation réflexive

La question de la réflexivité est un thème peu abordé en sociologie des professions

(Champy 2009). Pour autant, les courants théoriques qui se sont penchés sur la notion

de professionnalisation ne font pas l’impasse sur les différents types de savoirs

nécessaires à l’acquisition de la professionnalité, qu’il s’agisse de savoirs théoriques

référencés à des disciplines scientifiques ou des savoirs issus de l’expérience

professionnelle. Certains travaux comme ceux de Donald Schön (1983/1994) dans le

champ de la formation des adultes se sont intéressés à la réflexivité pour le cas de

certaines professions. Le « praticien réflexif » apparaît comme la figure idéale

typique du professionnel s’agissant de la pratique réflexive en milieu de travail.

Approches inductives 2016, Vol. 3, no1, pp. 68-90.

70

Molina, La pratique réflexive dans la formation en travail social…

En sociologie des professions, le questionnement relatif à la pratique réflexive

peut être analysé sous l’angle de la tension entre « incertitude » et « savoirs experts »

des professionnels (Champy, 2009). Les professions amenées à travailler avec

l’humain, comme toutes les professions de la relation (Demailly, 2008), prennent le

risque du traitement de situations complexes et singulières. Malgré les savoirs

scientifiques, l’incertitude, qui marque le caractère conjecturel de la pratique

professionnelle, nécessite des ajustements permanents, une gestion des aléas.

L’intervention réclame une délibération. Pour le champ du travail social, cette

dernière se joue à partir d’histoires qui touchent la subjectivité des professionnels

traversant des positions individuelles ou collectives au sein des organisations de

travail. Les vulnérabilités rencontrées peuvent toucher l’intervenant social y compris

dans sa vie personnelle. Il en est ainsi des questions de la mort, de la maladie, du

handicap, de l’éducation par exemple. Ce prolongement possible entre vie

personnelle et vie professionnelle se rencontre plus particulièrement pour les activités

du care qui mobilise un travail émotionnel des intervenants sociaux et médico-

sociaux (Hochschild, 2003; Molinier, 2006). Aussi, la pratique professionnelle des

travailleurs sociaux se situe-t-elle dans un espace social qui génère de l’incertitude

malgré la formation initiale ou continue, malgré le diplôme garant d’une « licence »

au sens donné par Hughes (1996), au-delà des savoirs théoriques et techniques avec

lesquels l’intervenant social a construit sa professionnalité. Il n’en reste pas moins

que la dimension humaine, porteuse de complexité et de singularité sur laquelle

repose

l’activité de

travail, ne confère pas

la maîtrise de

l’intervention

professionnelle. Ces situations de travail avec autrui sont complexes et réclament plus

que des gestes et des savoirs techniques.

La pratique réflexive se pose alors comme une nécessité afin d’assurer une

fonction de régulation de cette incertitude et des risques encourus dans la pratique

professionnelle. Cette pratique de la gestion des risques en situation professionnelle

est caractérisée comme une « pratique prudentielle » (Champy, 2011).

Approches inductives 2016, Vol. 3, no1, pp. 68-90.

71

Molina, La pratique réflexive dans la formation en travail social…

Si la pratique réflexive semble aller de soi s’agissant des praticiens engagés

dans un processus de délibération, elle interroge cependant les modalités de sa mise

en œuvre. Parler de « praticien réflexif » renvoie également à la dimension

individuelle de la responsabilité de l’acte professionnel. À ce stade, la pratique

réflexive peut s’entendre au moins à deux niveaux possibles : celui du professionnel

lié à ses positions individuelles elles-mêmes marquées par ses valeurs personnelles, et

celui d’un collectif de travail où sont engagés des débats, des points de vue

différenciés, des valeurs divergentes.

Ainsi, la réflexivité n’implique pas le seul praticien dans son acte professionnel,

mais elle implique également une organisation de travail telle qu’elle est pensée,

négociée dans des « mondes sociaux » (Bucher & Strauss, 1961) où se jouent des

interactions elles-mêmes réflexives. D’une autre manière, il s’agit d’une organisation

réflexive.

La pratique réflexive au sein des organisations de travail aborde un enjeu

majeur. Il s’agit de la régulation des dilemmes moraux qui se posent aux

professionnels. Véronique Guienne (2010) en donne une illustration saisissante

s’agissant des médecins et des personnels soignants en milieu hospitalier à partir

d’une enquête ethnographique. Les possibilités rencontrées se heurtent à des intérêts

multiples qui peuvent se présenter de façon divergente selon les valeurs des différents

protagonistes de l’intervention, mais aussi les conceptions que chacun a de son rôle,

de son objet d’intervention, de sa profession, de son institution d’appartenance, de

son « client ». Ces représentations individuelles ne sont pas toujours réfléchies,

parlées, échangées au sein des organisations, tout du moins pas toujours de façon

formelle. Pour autant, ce sont elles qui donnent du sens aux activités de travail. Si

l’organisation ne favorise pas ces pratiques réflexives au sein d’espaces collectifs,

elle prend alors le risque d’un éclatement des activités et du sens donné à ses

missions par les différents protagonistes. L’autre risque consiste, par voie de

Approches inductives 2016, Vol. 3, no1, pp. 68-90.

72

Molina, La pratique réflexive dans la formation en travail social…

conséquence, à ne pas donner sens à l’intervention pour les publics dont les

professionnels s’occupent.

Un autre enjeu de la réflexivité, proche des préoccupations de la sociologie des

groupes professionnels, est articulé à la question de l’autonomie. De nombreux

travaux de la sociologie des professions (Bercot, Divay, & Gadéa, 2012; Demazière

& Gadéa, 2009) ont démontré les tensions traversées par les groupes pour gagner la

reconnaissance de leur expertise et donc leur autonomie. Dans les processus de

professionnalisation, l’acquisition de savoirs d’experts confère toute légitimité au

groupe reconnu dans son expertise. Celle-ci est garante de son autonomie. Elle lui

accorde du pouvoir à l’égard des régulations de contrôle, des employeurs, des clients.

Savoirs d’experts et réflexivité sont alors étroitement imbriqués afin que les

professionnels puissent s’adapter aux situations contingentes sans pour autant être

remis en cause dans leur légitimité.

1.2 La réflexivité dans la construction professionnelle en travail social

Les enjeux de la pratique réflexive au sein des organisations de travail, dont la

mission première est celle du traitement de situations humaines, sont importants à la

fois pour le praticien, pour l’organisation et a fortiori pour le client, usager des

services. Elle est garante du professionnalisme des intervenants, et donc de leur

légitimité, et elle est porteuse d’une culture commune au sein de l’organisation dans

ses missions auprès des publics. Elle articule à la fois la dimension individuelle

portée par les valeurs et les références propres au praticien et la dimension collective

de ce monde social où se jouent des négociations entre les acteurs.

La réflexivité peut s’entendre comme un processus qui conduit les individus à

adopter une posture réflexive en situation professionnelle. C’est l’un des rôles

assignés à la formation initiale pour accéder à un diplôme et donc à un savoir expert

reconnu et légitime (Boussard, Demazière, & Milburn, 2010).

Approches inductives 2016, Vol. 3, no1, pp. 68-90.

73

Molina, La pratique réflexive dans la formation en travail social…

La formation initiale est l’un des vecteurs de la socialisation professionnelle.

Celle-ci est entendue comme l’acquisition de savoirs en tant qu’expertise, mais aussi

comme la transmission d’un certain nombre de codes, de valeurs, de croyances

professionnelles (Dubar, 2010a). Il s’agit comme l’explique Hughes (1956) dans The

making of a physician de se représenter ce qu’est la maladie, ce qu’est le soin, et de se

rapprocher des préoccupations du malade. En d’autres termes, il s’agit de transformer

ses représentations profanes pour les convertir en représentations professionnelles. La

socialisation professionnelle, en tant que processus, passe par une conversion

identitaire (Dubar, 2010b) amenant le futur professionnel à une réflexion sur sa

propre identité ex ante formation et comment celle-ci se transforme dans un nouvel

environnement. C’est le passage d’une conception du sens commun profane à celle de

l’expert professionnel.

Les lieux de socialisation professionnelle sont déterminants afin de construire

cette posture. L’alternance en formation initiale est l’une des conditions de son

acquisition (Kaddouri, 2008). Elle permet alors au formé d’articuler les différents

savoirs théoriques dispensés par l’établissement de formation et les savoirs pratiques

des situations rencontrées sur les terrains de stage. Vanhule, Baslev et Buysse (2012)

identifient quatre types de savoirs acquis en formation à partir desquels les

intervenants peuvent construire et formaliser des savoirs professionnels, c’est-à-dire

des savoirs que le groupe professionnel identifie comme spécifiques à l’activité. Le

premier type correspond aux savoirs académiques qui constituent des références

scientifiques pour comprendre et concevoir la profession. Le second type est relatif

aux savoirs institutionnels qui permettent d’orienter l’action en fonction des attentes

de la société et des employeurs. Le troisième concerne les savoirs de la pratique issus

des apprentissages sur le terrain en contact avec les professionnels. Le quatrième type

fait référence aux savoirs associés aux expériences propres dont chacun est porteur

par son histoire personnelle, familiale, ses croyances et ses valeurs personnelles, ses

expériences professionnelles antérieures, etc.

Approches inductives 2016, Vol. 3, no1, pp. 68-90.

74

Share160Tweet100Share28Send

Related Posts

e.learning) dans la formation professionnelle des salariés

Non correcte CMYK RVB – Formation Emitech

associations agrées formations secours

LICENCE EN NUTRITION ET DIETETIQUE

Next Post

FORMATIONS CIF 2018-2019 - Centre de Formation Continue

Formation en ligne Analyse financière

Leave a Reply Cancel reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

Trending Categories

Attestation Cours & Exercices Documents Entreprise Formation
No Result
View All Result

Latest documents

  • Cours Sur Les Alcools En Terminale S Pdf
  • Cours Instrumentation Industrielle Pdf
  • Cours Administration Systeme Linux Pdf
  • Cours D Audit Comptable Et Financier Ohada Pdf
  • Chimie Quantique Cours Pdf

Recent Comments

  • juliaa on FORMATION Maquillage permanent
  • SAYYED AHMAD NAFIZ on How to Create a New Microsoft Outlook/Hotmail/Live email …

Archives

  • March 2022
  • February 2022
  • January 2022
  • December 2021
  • September 2021
  • August 2021
  • July 2021

Categories

  • Attestation
  • Cours & Exercices
  • Documents
  • Entreprise
  • Formation

Docs Wikilivre

Docs Wikilivres est site d'informations gratuit permettant de partager et lire les documents, guides pratiques et informations utiles.

  • Docs
  • Contact

© 2021 Wikilivre - Free learning for everyone.

No Result
View All Result
  • Accueil
  • Attestations
  • Cours & Exercices
  • Documents
  • Entreprise
  • Formation
  • Lecteur PDF