et
CESET
ASSET
CSSET
Comité des Écoles Suisses d’Ergothérapie
Arbeitsgemeinschaft Schweizerischer Schulen für Ergotherapie
Comunità di lavoro delle Scuole Svizzere di Ergoterapia
______________________________________________________________________
PROFIL PROFESSIONNEL
DE L’ERGOTHERAPIE
Profil professionnel de l’ergothérapie ASE – CSEET
2005
Table des matières
1. PRÉFACE
2.
INTRODUCTION
Image et principes de l’ergothérapie
Attitude et état d’esprit
Positionnement et légitimation
Groupes cibles et champs d’action
Contribution au système de santé
3. LE PROCESSUS ERGOTHÉRAPEUTIQUE
Evaluation initiale
Planification du traitement
Réalisation du traitement
3.3.1
3.3.2
3.3.3
Phase préparatoire
Phase d’action
Phase finale
3.4
Evaluation du traitement
2.1
2.2
2.3
2.4
2.5
3.1
3.2
3.3
4. TÂCHES COMPLÉMENTAIRES DE L’ERGOTHÉRAPEUTE
4.1.1
4.1.2
4.1.3
4.2.1
4.2.2
4.1
Coopération, organisation/administration, direction
Relations professionnelles et coopération
Organisation/administration
Direction
4.2
Développement professionnel personnel
Assimilation des expériences professionnelles
Perfectionnement et formation continue
4.3
4.3.1
4.3.2
Contribution au développement de la profession
Recherche appliquée et développement
Tâches de formation
4.4
Relations publiques
5. BIBLIOGRAPHIE
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Profil professionnel de l’ergothérapie ASE – CSEET
2005
1. Préface
Historique
Ce profil professionnel a été élaboré en étroite collaboration entre le Comité  des écoles
suisses  d’ergothérapie  (CESET)  et  l’Association  suisse  des  ergothérapeutes  (ASE).  Il
décrit  la  profession  d’ergothérapeute,  en  particulier  le  processus  ergothérapeutique
avec le patient/client1 ainsi que d’autres domaines de l’ergothérapie2.
Afin  de  développer  de  nouveaux  curriculums  dans  le  contexte  des  Hautes  Ecoles
Spécialisées  (HES),  la  Conférence  suisse  des  HES  (CSHES)  demande  de  s’appuyer
sur la formulation d’un profil professionnel tel que proposé dans son document intitulé
“La conception de filières universitaires par niveaux : best practice et recommandations”
(juillet 2004). Le profil décrit ci-après prend en compte ces recommandations.
La description des activités en ergothérapie de la CESET de 19993 et le projet de profil
professionnel  de l’ergothérapie de la Croix rouge suisse (CRS) de 2002 constituent la
base de ce profil professionnel.
Ce profil professionnel met en évidence la volonté du CESET et de l’ASE d’élaborer, en
commun  et  de  manière  consensuelle,  le  référentiel  de  base  à  la  mise  sur  pied  d’une
formation en ergothérapie de qualité, répondant aux exigences des HES et comparable
pour l’ensemble du pays.
Objectifs
qu’elle poursuit.
contexte interdisciplinaire.
Le présent profil professionnel doit satisfaire aux objectifs suivants :
– Décrire ce que l’ergothérapeute réalise dans son champ d’action et les objectifs
– Montrer la complexité du travail des ergothérapeutes avec le patient/client et dans le
– Tenir compte des développements professionnels qui ne sont pas encore généra-
lisés à l’ensemble des ergothérapeutes.
1 La dénomination patient/client tient compte de la réalité qui veut qu’en Suisse, en plus du modèle
biomédical utilisant la dénomination de “patient“, le terme de “client” prend toujours davantage d’impor-
tance en ergothérapie. Cette évolution est approuvée par l’ASE et le CESET. Mais ne plus parler que de
client serait contraire à la réalité, c’est pourquoi l’ensemble de ce texte contiendra toujours les deux
dénominations.
2 La dénomination féminine est valable pour les deux sexes. Le terme “ergothérapeute“ désigne toujours
l’ergothérapeute diplômée, reconnue par l’Etat.
3 La “description des activités en ergothérapie“ a été élaborée par la Commission de la formation de
l’école d’ergothérapie de Bienne dans les années 1987 et 1988, sur la base des documents de travail
émanant du projet “Ergothérapie – Thérapie  d’animation1978-1982“. Elle a alors servi uniquement à un
groupe de projet de l’école d’ergothérapie de Bienne en tant que base destinée à l’élaboration d’objectifs
d’apprentissage pour les cours de méthodologie et pour les stages. Au cours des années 1998-1999, la
“description des activités en ergothérapie“ a servi, dans sa forme actualisée, au CESET comme docu-
ment de base pour la reconnaissance des formations en ergothérapie par la Croix Rouge Suisse (CRS).
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Profil professionnel de l’ergothérapie ASE – CSEET
2005
–  Constituer les critères de base pour le développement de curriculums comparables
sur le plan suisse pour la filière de formation des ergothérapeutes de niveau HES.
Les compétences qu’une élève ergothérapeute de la HES doit acquérir découlent de ce
profil  professionnel.  Elles  sont  constitutives  du  curriculum  HES  en  ergothérapie  qui
permet  d’accéder  au  titre  de  Bachelor  of  Science  in  Occupational  Therapy  (bac.sc.
OT)4.  D’autres  sources  du  curriculum  sont  les  exigences  du  profil    HES  santé  de  la
Conférence  suisse  des  directrices  et  directeurs  cantonaux  de  la  santé  (CDS),  les  do-
cuments  de  l’European  Network  of  Occupational  Therapy  in  Higher  Education  (ENO-
THE)  ainsi que les textes de la World Federation of Occupational Therapy (WFOT) (Fi-
gure 1).
Dans la pratique de l’ergothérapie, le travail avec le patient/client revêt une importance
prépondérante.  C’est  pourquoi  la  description  du  processus  ergothérapeutique  est  es-
sentielle, chaque ergothérapeute devant maîtriser ce processus.
Figure 1 : Fonction du profil professionnel dans le processus de développement de la HES
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Profil profes-
sionnel CESET –
ASE de 2005
Curriculum HES
Compétences
professionnelles,
méthodologiques,
sociales,
personnelles.
Bachelor  of  Science
en Ergothérapie
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Documents de base : Best Practice de la Conférence suisse des Hautes Ecoles
Spécialisées ; profil des Hautes écoles CDS ; projet de profil professionnel CRS ;
documents de ENOTHE et WFOT
La figure ci-dessus décrit la fonction du profil professionnel dans le processus de déve-
loppement  de  l’ergothérapie  au  niveau  HES.  Le  diplôme  Bachelor  donne  accès  aux
programmes  du  Master  (par  exemple,  le European  Master  of  Science  in  Occupational
Therapy) et ce dernier permet d’accéder au doctorat (PhD.). La question de l’acquisition
d’un Master en ergothérapie en Suisse reste ouverte.
Lors  de  l’élaboration  du  Descriptif  des  activités  en  ergothérapie  (CESET,  1999)  et  du
projet relatif au profil professionnel de la CRS, il a été tenu compte des développements
suivants :
4 Au moment de l’élaboration de ce profil, on ignore encore quelle sera la dénomination française du dipl-
ôme Bachelor ; nous avons donc repris l’appellation anglaise du titre.
4
Profil professionnel de l’ergothérapie ASE – CSEET
2005
Changement de paradigme en ergothérapie et en médecine
En ergothérapie, on assiste à la transformation d’une conception biomédicale de l’être
humain  vers  un  nouveau  paradigme  biopsychosocial.  Celui-ci  se  caractérise  par  une
approche circulaire au cours de laquelle l’ergothérapeute, en collaboration avec le pa-
tient/client,  crée  une  nouvelle  relation  entre  la  personne  et  son  environnement  (physi-
que, social, culturel) par le biais de l’activité.
Traditionnellement,  l’ergothérapie  se  situe  dans  le  domaine  de  la  santé  en  tant  que
profession médico-thérapeutique, orientée vers la réhabilitation. Cette conception est le
fruit  d’une  évolution.  Ses  racines  remontent  aux  18e  et  19e  siècles  dans  le  “Moral
Treatment“ des patients en psychiatrie5 et dans le mouvement “Arts & Crafts“6. Elle se
prolongera  plus  tard  dans  la  réhabilitation  des  mutilés  de  guerre  en  suivant  l’évolution
des sciences exactes7 de la biomédecine. Au fil de cette évolution, les sciences socia-
les et médicales sont  devenues les principales références de l’ergothérapie.
Au cours de ces dix à quinze dernières années, se sont développés des modèles, des
concepts  et  des  théories  spécifiques  à  l’ergothérapie  issus  essentiellement  des  pays
anglo-saxons. Dès lors se dessine un mouvement qui s’éloigne des objectifs et priorités
de  traitement  fonctionnel  et  médical  pour  mettre  (à  nouveau)  l’accent  sur  la  capacité
d’agir8 de l’être humain dans ses différents contextes.
Durant de nombreuses années, la médecine s’est inspirée du paradigme des sciences
naturelles, si bien que la maladie ou la santé ont été réduites à des processus biologi-
ques,  fonctionnels  ou  chimiques  et  à  des  fonctions  corporelles.  Le  rôle  des  relations
entre  les  êtres  humains,  les  constituants  psychiques  et  le  contexte  social  et  physique
ont été sous-estimés dans cette manière de voir.
En médecine également, cette vision objective et biomédicale de la maladie atteint pro-
gressivement ses limites. Dans le domaine de la santé se dessine un changement, initié
en partie déjà dans les années 80 : la médecine s’éloigne d’une conception de la mala-
die  inspirée  essentiellement  des  sciences  naturelles  pour  se  rapprocher  d’une  conti-
nuité santé – maladie. Aujourd’hui, la mission de la médecine consiste de plus en plus à
5 Au début du 19e siècle, le mouvement  du traitement moral (“Moral Treatment”) est lié à l’idée que les
rapports avec les pensionnaires des asiles psychiatriques doivent être exempts de moyens de pression,
humains et basés sur le respect du patient. Le travail et la thérapie sont là pour distraire les malades de
leurs idées noires et l’énergie présente doit être canalisée dans des voies socialement acceptables et
ressenties comme saines. Marotzki Ulrike (2004), Zwischen medizinischer Diagnose und Lebensweltori-
entierung. Eine Studie zum professionellen Arbeiten in der Ergotherapie. Idstein, Schulz-Kirchner, p. 23.
6 En participant à un travail manuel soigneux et finalisé, les personnes socialement défavorisées, mala-
des et handicapées voyaient leur dignité renforcée, regagnaient ainsi le contrôle de leurs actes, redon-
naient un sens à leur vie et retrouvaient une orientation existentielle. Ibid., p. 23.
7 L’idée directrice des pratiques ergothérapeutiques fondées sur le paradigme biomédical était l’améliora-
tion, le rétablissement et la stimulation des fonctions physiques et mentales au moyen d’activités artisa-
nales et de production. Ibid., p. 23.
8 Dans les régions alémaniques, une discussion est en cours concernant la terminologie de l’ergothéra-
pie. Dans ce document, nous utilisons le terme de “capacité d’agir “ issu des théories de l’action.
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Profil professionnel de l’ergothérapie ASE – CSEET
2005
maintenir,  améliorer  la  santé  et  à  éviter  la  maladie.  La  promotion  de  la  santé  et  la
prévention primaire sont ainsi des moyens essentiels pour atteindre ces objectifs.9
Cette révision des objectifs de la médecine a été systématisée par  l’Organisation mon-
diale de la santé (OMS, 2001) et a paru sous l’appellation de la “Classification interna-
tionale du fonctionnement, du handicap et de la santé” (CIF). Elle fait partie des diver-
ses  classifications  développées  par  l’OMS  et  complète  en  particulier  la  Classification
internationale des handicaps (OMS, 1988). La CIF traduit un effort de conceptualisation
des changements de la médecine et en particulier la préoccupation pour une approche
biopsychosociale de la maladie et du handicap. Le professionnel de la santé prend en
considération,  en  particulier,  le  contexte  de  vie  des  personnes  concernées.  Dans  ce
concept,  une  importance  essentielle  est  accordée  à  la  notion  de  “santé  fonctionnelle“:
une personne est considérée comme fonctionnellement saine, lorsque, placée dans son
contexte de vie, l’ensemble de ses fonctions physiques, mentales et ses structures cor-
porelles (référées à des normes statistiques) lui permettent d’agir de façon autonome et
indépendante et de réaliser ses aspirations.10
Dans la CIF, l’OMS place au centre du dispositif l’activité de la personne et sa participa-
tion dans les différents domaines de la vie – ce qui renforce et confirme les principes de
base de l’ergothérapie.
En  raison  de  cette  évolution,  l’ergothérapie  prend  également  une  part  de  plus  en  plus
importante dans la promotion de la santé. De ce fait, les sciences sociales, en tant que
sciences de référence, prennent davantage de poids.
Ce  changement  de  paradigme  est  lié  à  une  manière  d’agir  et  une  orientation  de  l’er-
gothérapie  centrées  sur  le  client  :  les  patients/clients  participent  de  plus  en  plus  à  la
formulation et l’établissement des objectifs de traitement (ou de prise en charge) et les
moyens utilisés consistent en des activités significatives pour le patient/client. Cette ap-
proche modifie le rôle de l’ergothérapeute, qui ne „dispose“ pas du patient/client, mais
travaille en étroite collaboration avec lui.
Développements sociaux
Différentes évolutions sociales ont des répercussions sur le développement de l’ergoth-
érapie :
Les progrès de la médecine entraînent un accroissement marquant de l’espérance de
vie.  De  ce  fait,  un  nombre  croissant  de  personnes  âgées  nécessite  un  soutien  dans
l’organisation  de  leur  vie  quotidienne11.  De  même,  des  maladies  graves  peuvent
désormais être traitées avec succès.
9 Projet “Zukunft Medizin Schweiz“, objectifs et tâches de la médecine au début du 21e siècle. Rapport
d’un groupe d’expert/es de l’Académie suisse des sciences médicales (ASSM), de la Fédération des
médecins suisses (FMH) ainsi que des cinq facultés de médecine. Bâle/Muttenz, 2004.
10 Schuntermann, M.F., Verband Deutscher Rentenversicherungsträger, Ausbildungsmaterialien zur ICF,
Version 2.0.1, 2003.
11  Yerxa,  E.,  J.,  (1998). Health  and  the  Human  Spirit  of  Occupation.  American  Journal  of  Occupational
Therapy. volume 52, 6, 412–422.
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Profil professionnel de l’ergothérapie ASE – CSEET
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La réhabilitation au travail, l’insertion au poste de travail et les mesures pour le maintien
d’une  activité  professionnelle  prennent  également  de  plus  en  plus  d’importance.  A  cet
effet,  des  mesures  ciblées  sont  nécessaires  qui  permettent  à  des  personnes  atteintes
de troubles physiques ou psychiques de conserver leur place de travail ou d’accéder au
marché  de  l’emploi.  Dans  ce  domaine,  l’ergothérapie  prend  une  importance  toujours
plus grande.
L’intérêt grandissant accordé par la société à la promotion de la santé, à la prévention
(par exemple à l’école, sur le lieu de travail) ainsi qu’à l’intégration sociale (par exemple
d’enfants  handicapés  dans  une  école  normale)  modifie  le  contexte  dans  lequel  les  er-
gothérapeutes exercent leur profession et ouvre conjointement de nouveaux domaines
d’activités.
La  formation  d’ergothérapeute  a  également  pour  mission  de  prendre  en  compte  ces
développements.
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Profil professionnel de l’ergothérapie ASE – CSEET
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2.
Introduction
2.1 Image et principes de l’ergothérapie
“Par le biais d’activités ciblées, l’être humain fait l’expérience de la réalité, du contrôle, de l’au-
tonomie, de la compétence et de l’organisation temporelle. En même temps, du fait qu’il agit, il
entre en contact avec ses concitoyens et son environnement.“12
L’ergothérapie considère que la dignité de l’être humain est intangible, sans que l’utilité
ou la contribution de l’être humain à la société ne soit mesurée.
L’ergothérapie part du principe que le fait d’être actif et la capacité d’agir sont des be-
soins fondamentaux de l’être humain. Les activités favorisent la promotion de la santé
et elles ont un effet thérapeutique : „L’aptitude de l’être humain à maîtriser sa vie per-
sonnelle agit positivement sur la santé et prévient les maladies“.13
Durant  son  développement,  par  ses  interactions  et  ses  comportements,  l’être  humain
appréhende son environnement social, physique et culturel. Il acquiert ainsi la capacité
d’intervenir activement, également dans des situations complexes, et d’organiser  sa vie
de manière autonome. Cette compétence se développe avec l’âge et est influencée par
les  exigences  environnementales.  Elle  s’exprime  par  la  maîtrise  des  actions  de  la  vie
quotidienne et est susceptible d’être restreinte temporairement et/ou durablement par la
maladie, un accident ou des influences liées au contexte. L’état de santé et les valeurs
d’un être humain s’expriment par ses activités.
En  accord  avec  le  principe  qui  veut  que  le  patient/client  soit  placé  au  centre  de  son
contexte,  l’ergothérapie  considère  qu’il  assume  la  responsabilité  de  ses  actions,  pour
autant  qu’il  soit  capable  de  le  faire  en  fonction  de  ses  ressources,  restrictions  et  du
contexte.  L’ergothérapeute  est  consciente  des  limites  de  son  propre  domaine  d’in-
fluence.
Les caractéristiques suivantes distinguent l’ergothérapie :
– L’ergothérapie a pour objectif d’encourager, de maintenir et/ou de rétablir la capacité
d’agir de l’être humain.
– L’ergothérapie part du principe que la capacité de l’être humain à réaliser des ac-
tes/activités significatifs a des conséquences positives sur sa santé.
–  L’ergothérapie contribue au maintien et à l’amélioration de la capacité d’agir du pa-
tient/client. Pour ce faire, l’ergothérapeute prend en considération le rôle joué par les
fonctions et les structures, les facteurs environnementaux (matériels, sociaux, cultu-
12 Chapparo Ch., Ranka J.: Occupational Performance Model (Australia) Monograph 1. Occupational
Performance Network, Australia, 1997, citées dans Schwarze, G. (2003), Zielgerichtete Aktivität als Teil
der Gesundheitsförderung durch Ergotherapie. Thèse de Master non publiée, p. 20.
13 Runge U., Health Promotion and Disease Prevention – an Occupational Therapy Challenge. Danish
Journal of Occupational Therapy, 1997; 17, 10-16. Cité dans: Schwarze, G., p. 10.
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