FORMATION ERGOTHERAPEUTE Le projet pédagogique

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FORMATION ERGOTHERAPEUTE
Le projet pédagogique

Les orientations de la formation …………………………………………………………………………… 2

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visées avec le profil attendu et les compétences pour exercer le métier …………………………………. 2

La conception générale de la formation et les choix pédagogiques en lien avec les métiers préparés : les valeurs, les finalités

L’individualisation des parcours …………………………………………………………………………. 9

La planification de l’alternance ………………………………………………………………………….. 10

Les lieux de stage en lien avec les obligations réglementaires ……………………………. 11

Les modalités d’encadrement et de tutorat négociées avec les responsables des structures d’accueil 11

Les prestations offertes à la vie étudiante …………………………………………………………… 14

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Les orientations de la formation

L’IFE IFTS Arc Alpin- s’inscrit dans une vision de la société qui articule les questions de santé et de l’intervention sociale. Ces questions ne
s’opposent plus mais sont bien réunies par la notion de parcours des personnes, de citoyens, titulaires de droits et capables de déterminer
leurs projets en fonction de leurs aspirations. Cette perspective configure la vision de l’ergothérapeute que l’IFTS porte. Les évolutions de la
société, celles des politiques publiques, sociales ou de santé, celles des spécificités et des aspirations des personnes concernées engagent des
mutations profondes du métier d’ergothérapeute.
Au-delà d’une intervention purement rééducative et compensatrice l’ergothérapeute se positionne comme un accompagnateur de la facilita-
tion pour un accès, pas seulement aux structures, mobilières, immobilières ou urbaines mais aussi aux droits, sociaux et occupationnels, à la
formation, à la connaissance, à la vie de la cité et enfin à la participation pleine et entière des personnes. Cet accès et cet exercice doivent être
garantis à toute personne qui s’en trouve empêchée en raison des conséquences liées à l’âge, à une affection, physique, psychique, mentale,
cognitive, ainsi qu’à tout élément non biologique qui va déterminer sa santé (Charte D’Ottawa, 1970 ; Commission des déterminants de la san-
té de l’OMS, 2005).
La formation s’attachera à :

 Favoriser la construction d’une identité professionnelle et d’une expertise
 Articuler La recherche avec la professionnalisation
 Favoriser l’ouverture aux autres regards
 Affirmer l’ancrage territorial et l’ouverture vers l’international
 Développer la compréhension et la connaissance des environnements
 Stimuler la réflexivité ou l’« ingenium » de l’ergothérapeute

La conception générale de la formation et les choix pédagogiques en lien avec les métiers préparés : les valeurs, les finalités visées

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avec le profil attendu et les compétences pour exercer le métier

Finalités et valeurs

 Finalité

 Définition du métier

L’IFE IFTS Arc-Alpin dispense un enseignement défini par l’arrêté du Ministère de la Santé du 05 juillet 2010 et prépare au diplôme d’Etat
d’Ergothérapeute (décret n°70-1042 du 6 novembre 1970). Il vise à former des praticiens mettant en acte les valeurs précisées par la suite.

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Arrêté du 5 juillet 2010 relatif au diplôme d’État d’ergothérapeute :
“L’ergothérapeute est un professionnel de santé qui fonde sa pratique sur le lien entre l’activité humaine et la santé. Il intervient en faveur d’une personne ou
d’un groupe de personnes dans un environnement médical, professionnel, éducatif et social.
Il évalue les intégrités, les lésions, les capacités de la personne ainsi que ses performances motrices, sensorielles, cognitives, psychiques. Il analyse les besoins,
les habitudes de vie, les facteurs environnementaux, les situations de handicap et pose un diagnostic ergothérapique.
Il met en œuvre des soins et des interventions de prévention, d’éducation thérapeutique, de rééducation, de réadaptation, de réinsertion et de réhabilitation
psychosociale visant à réduire et compenser les altérations et les limitations d’activité, développer, restaurer et maintenir l’indépendance, l’autonomie et
l’implication sociale de la personne.
Il conçoit des environnements de manière sécurisée, accessible, adaptée, évolutive et durable. Afin de favoriser la participation de la personne dans son milieu
de vie, il préconise des aides techniques et des assistances technologiques, des aides humaines, des aides animalières et des modifications matérielles. Il préco-
nise et utilise des appareillages de série, conçoit et réalise du petit appareillage, provisoire, extemporané. Il entraîne les personnes à leur utilisation. »

L’ergothérapeute tel qu’il sera formé à l’IFTS doit être en capacité de pouvoir être un lecteur fin de la rencontre, en situations, des personnes
avec les environnements liés à leur choix et leurs parcours de vie, de leurs activités et occupations au sein de ces environnements.
Dans cette rencontre, l’ergothérapeute est un catalyseur de changement individuel et collectif, synchronisateur d’opportunités créatrices, de
ressources ingénieuses, de capabilités, au sens des capacités adaptatives des situations. Pour cela il s’appuie sur une expertise affirmée dans
des champs très larges, puisqu’il s’agit de pouvoir appréhender une personne (ou un groupe de personnes), à tout moment de son histoire, de
son parcours, dans un système complexe.
Ainsi la construction de l’identité professionnelle de l’ergothérapeute articule une triple position d’expertise : technique, thérapeutique et so-
ciétale.

Les choix pédagogiques en lien avec les métiers préparés : le modèle pédagogique de l’IFTS

 Valeurs

 Principes

Les ergothérapeutes développent une approche centrée sur la mobilisation des ressources individuelles et celles des milieux de vie, dans la
réalisation des activités humaines routinières et singulières. Les métiers, incarnés dans la figure du travailleur social, du professionnel de san-
té, de l’encadrement revendiquent un art qui convoque aussi la mobilité de l’intelligence, la rapidité d’action et l’habileté à saisir l’occasion et
la créer. Les compétences ainsi acquises font sens en rapport à des fonctions qui s’exercent en référence à des repères éthiques et déontolo-
giques garantissant la qualité des interventions.

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La réflexion, centrale sur les logiques à l’œuvre et les processus d’apprentissage, puisqu’il s’agit bien d’appropriation, donc de professionnali-
sation a permis de produire un modèle de référence actualisé pour l’ensemble des formations, que nous pouvons schématiser ainsi :

Ce schéma montre la place de la formation dans l’acquisition des compétences.
A l’IFTS la pédagogie de la réflexivité s’est construite autour du modèle d’éc(h)o-formation qui permet de mettre en dialogue l’ensemble des
temps de formation :

Au contact des autres (collectif, contenus, accompagnement), ou l’écho réalise la transformation des informations en connaissances et des connais-

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sances en savoirs.
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Au contact de soi (auto) ou l’écho (réflexivité) rétablit le lien entre les composantes de la compétence:

 Qu’est-ce qu’il faut connaître pour faire ?
 Qu’est-ce qu’il faut savoir faire ?
 Qu’est-ce qu’il faut comprendre (de la situation) pour faire ?

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Au contact de l’expérience qui réalise l’environnement contextualisé (éco) nécessaire à la mise en œuvre et à l’observation des compétences.

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La formation repose donc sur un processus qui est celui de l’étudiant et qui permet la transformation des données, informations en compé-
tences. La formation doit pouvoir offrir à l’étudiant les conditions favorisant le développement :

D’un art interrogatif et délibératif fondé sur :
Le discernement, la discrimination, la confrontation et la critique
La polémique pour interroger le quotidien : une fonction d’identification
De la capacité à coopérer et coordonner
De la capacité à analyser
De la capacité à restituer
De compétences professionnelles.

Ce processus repose sur les principes suivants :

La formation intervient dans les interstices (données/information) et permet le passage à l’étape suivante en initiant la réalisation de liens.
C’est l’étudiant qui produit ses connaissances et ses savoirs ce n’est pas la formation.
Les modalités s’adossent toutes sur un processus qui s’appuie sur l’expérience de l’étudiant, génère une réflexion sur cette expérience et formalisent

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les règles qui régissent cette expérience.

Les objectifs d’apprentissage et de professionnalisation

Les objectifs de la formation préparant au Diplôme d’Etat d’Ergothérapeute sont donc de :

Favoriser la construction d’une identité professionnelle et d’une expertise
Articuler la recherche avec la professionnalisation
Favoriser l’ouverture aux autres regards
Affirmer l’ancrage territorial et l’ouverture vers l’international
Développer la compréhension et la connaissance des environnements
Stimuler la réflexivité ou l’« ingenium » de l’ergothérapeute

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Favoriser la construction d’une identité professionnelle et d’une expertise

Le processus de professionnalisation, à partir de données, puis d’informations, vise la transformation des connaissances en savoirs théoriques
et pratiques dans la perspective de la production de compétences. Ces compétences constituent de véritables « savoir-agir » quels que soient
les contextes. Les étudiants sont donc bien les (co)auteurs de la production de leurs connaissances, savoirs et compétences.
La professionnalisation ne peut se satisfaire des seuls enseignements disciplinaires. En effet ceux-ci s’inscrivent dans des processus visant
l’appropriation et la production de compétences en situation. Il n’y a donc pas de dissociation ni de rupture ni de hiérarchisation entre les no-

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tions de formation « pratique » ou « théorique ». En effet la professionnalisation s’inscrit dans un processus qui favorise la production de con-
naissances, de savoirs et de compétences et associe, dans un même parcours l’action en situation et l’action hors situation, l’individuel
(l’intime, la réflexivité) et le collectif (l’autre, la coopération).
L’étudiant est bien auteur de ce parcours et de ces transformations intimes et existentielles. Toutes les interventions à l’IFTS s’inscrivent donc
dans un parcours qui emprunte systématiquement les processus à l’œuvre dans les apprentissages et favorisent la réflexivité.

Articuler La recherche avec la professionnalisation

L’objectif de cette articulation est bien de former de futurs professionnels en capacité de faire évoluer et d’actualiser leurs pratiques et leurs
connaissances. Il convient pour cela, dès le début de la formation, d’amener les étudiants à réfléchir à comment les outils professionnels peu-
vent être mobilisés comme outil de recherche.
Les unités d’enseignement et d’intégration, permettent aussi de réfléchir la transformation des problématiques de terrain en sujet de re-
cherche. C’est pourquoi la professionnalisation ne doit pas se comprendre comme une juxtaposition de théorie et de pratique mais bien
comme un dialogue permanent entre expérience et réflexivité. De même l’analyse (clinique) des situations et l’analyse des pratiques permet-
tent une appropriation des modèles d’intervention par la confrontation interdisciplinaire sur les concepts d’intervention en santé et
d’intervention sociale. Il s’agit bien pour cela d’accompagner les étudiants à produire de la connaissance sur les pratiques. Cette production
s’accompagne des apports de la recherche fondamentale, des données probantes en ergothérapie, de la recherche action. Cette dernière permet
aux étudiants d’appréhender la transformation des pratiques en faisant émerger les besoins des personnes en termes d’équilibre occupation-
nel.
L’écriture du mémoire de recherche permet à l’étudiant de problématiser, d’approfondir sa réflexion concernant une situation de pratique en
ergothérapie et de s’initier à la démarche de recherche.

Favoriser l’ouverture aux autres regards

Pour appréhender la personne dans sa globalité il ne faut pas se limiter à une compréhension en « tuyaux d’orgue » de celle-ci. En effet « dé-
couper » la personne en fonction de l’identification des problèmes qu’elle traverse, pose deux risques fondamentaux :
✓ La confusion identitaire : se méprendre sur la personne en la confondant avec l’addition de ses manques, de ses difficultés sociales et de san-

té. C’est un risque de réduction identitaire.

✓ L’absence de prise en compte globale : la conséquence du premier risque est de passer à côté de l’identité réelle de la personne et de négliger

l’ensemble de ses ressources et de ses aspirations, qui se situent bien au-delà des simples besoins.

C’est la raison pour laquelle travailler, dès la formation, en transversalité santé-intervention éducative et sociale, contribue à forger une identi-
té professionnelle garantissant un rapport dialogique entre accompagnement et prise en charge.

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L’intérêt pour les étudiants et futurs professionnels est également de pouvoir s’approprier le langage, les outils et la vision respective de cha-
cun des deux champs. Cela s’inscrit dans un contexte d’émergence de modèles de pratique systémique en ergothérapie à un niveau interna-
tional, qui viennent étayer une pensée complexe aujourd’hui nécessaire à la compréhension des situations de vie.
La formation doit donc comprendre des temps de transversalité entre ergothérapeutes et travailleurs sociaux et autres professionnels de santé
sur :
✓ Des notions et disciplines fondamentales : sociologie, socio-anthropologie, philosophie (éthique), positionnement, secret professionnel et par-

tage d’informations, écrits professionnels.

✓ Des modalités et outils d’intervention : le parcours des personnes, intervention collective, outils de la participation, outil et modalités de dia-

gnostic, démarche projet, santé communautaire, développement social, urbanisme…

✓ Des expériences croisées : des stages à orientation sociale, médico-sociale, sanitaire et dans les lieux de vie…
✓ Des pratiques professionnelles partagées avec d’autres IFE et d’autres instituts de formation en santé (IFMK, IFSI…) complèteront ce croise-

ment des regards en apportant la connaissance d’autres modèles d’intervention en santé.

Affirmer l’ancrage territorial et l’ouverture vers l’international

 L’ancrage territorial

La présence de l’IFTS sur son territoire s’affirme par un ancrage multiple. Cela permet de :

Diversifier les partenariats et coopérations
De définir nos relations avec l’écosystème employeur en renforçant notamment notre ancrage dans les territoires éloignés et qui rencontrent des pro-

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blèmes de recrutement, d’attractivité et de désertification de l’offre en services de santé.
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Renforcer nos coopérations et mutualisations dans le champ de la formation et de la recherche.
Développer les connaissances des environnements sociaux concrets par les étudiants
Repérer des besoins en ergothérapie au-delà des pratiques existantes
Dynamiser le réseau des ergothérapeutes du territoire par l’information, la coopération, la participation au projet de l’IFE

 L’ouverture vers l’international

A l’IFTS, les étudiants ont depuis une vingtaine d’années la possibilité de faire un stage à l’étranger et une quinzaine d’étudiants chaque année
profitent de cette modalité pédagogique.
L’internationalisation des échanges impacte l’intervention sociale et la santé. C’est pourquoi il est important de pouvoir faire des passerelles
entre les professionnels, les étudiants et les formateurs/enseignants pour penser l’ouverture à l’international, pour envisager des ajustements
par des expériences et des coopérations à construire au niveau Européen voire international.

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La mobilité des étudiants, des formateurs/enseignants mais aussi des personnes concernées est un appui intéressant pour remettre en question
les cadres théoriques de références, les pratiques, les logiques à l’œuvre et nourrir la réflexion pour aller vers des expériences innovantes, enri-
chir les enseignements inspirés çà et là de pratiques observées, d’échanges multiples grâce à ce détour par l’Ailleurs.
L’ouverture à l’international permet des articulations et des coopérations avec les territoires et les professionnels et ce, par le biais d’une for-
mation continue alimentée par les échanges à l’international mais aussi par l’intermédiaire de projets stratégiques.
Enfin l’ergothérapie en France se construit et se transforme avec des modèles et des expériences qui sont aussi pensés et développés au-delà
de nos frontières. L’ouverture à l’international permet d’inscrire un institut de formation en ergothérapie dans une dynamique de participa-
tion, de co-production et de coopération autour des modèles d’intervention. Permettre aux étudiants d’aller vivre leurs expériences de forma-
tion pratiques aux sources de ces modèles engage également un enrichissement significatif de la profession toute entière.

Stimuler la réflexivité ou l’« ingenium » de l’ergothérapeute

L’identité professionnelle de l’ergothérapeute a souvent été caractérisée par la capacité de produire des réponses pratiques, visibles, concrètes,
ajustées en situation aux conséquences des déficiences fonctionnelles, psychosociales des personnes.
Cette démarche, complexe, héritée de l’histoire du métier, constitue “l’ingenium” de l’ergothérapeute s’appuie d’une part sur des connais-
sances scientifiques, liées aux situations, aux conséquences des pathologies, aux personnes et aux environnements et d’autre part sur une ex-
périence et connaissance des personnes à travers leurs aspirations et projets.

La question, sur le plan de la formation, en particulier pédagogiquement, est de savoir comment accompagner le développement, reconnaître,
valoriser et modéliser cet Ingenium pour en faire un sujet d’étude et de formation. Cela convoque la recherche afin, en situation de formation,
de pouvoir produire de la connaissance sur les pratiques. C’est un engagement fort pour un institut de formation, qui permet la cohabitation
accompagnée des formes intuitives et situées du savoir (créativité, intuition, empirisme…) avec les formes scientifiques du savoir. C’est
l’articulation entre ces deux formes de savoirs, le passage de l’idée à la pensée, de l’abduction à l’induction puis la déduction qui constitue la
matière réflexive de la formation.

De ce fait la formation aux activités médiatrices, avec ou sans objet, à leur analyse, la formation technologique, à l’appareillage à l’évaluation
constituent des supports de choix à la révélation de l’ingenium des étudiants en ergothérapie.

 Les médiations

Les médiations sont indispensables dans la formation des ergothérapeutes. Derrière le générique « activités » il faut envisager un processus
complet qui doit s’inscrire dans la formation et dans la pratique professionnelle. Ce processus est porté par trois axes : les activités, leur ana-
lyse et leur évaluation. Il ne s’agit pas seulement de saisir les apports thérapeutiques de telle ou telle activité, mais de comprendre aussi

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